COMMENTAIRE DE L’ESCLAVAGE DES NEGRES (MONTESQUIEU)

Nous sommes en présence d’un texte de Montesquieu, ne en 1689 et mort en 1755. Issu d’une famille de magistrats girondin,Montesquieu devient president du parlemet de Bordeaux. Il s’interesse tot a l’analyse de la politique et de la societe. Son admiration pour la monarchie constitutionnelle britannique donne lieu a des traites politique en particulier De l’esprit des negres ecrit en 1748 qui le rend célèbre.

Dans ce texte De l’esclavage des negres l’auteur aborde des faits contemporains pour revolter son humanite comme l’esclavage. L’auteur se met a la place des colonisateurs pour essayer de justifier l’esclavage des europeens sur les peulples d’Afrique. Mais pour cela il va utiliser l’ironie qui doit davantage  indigner le lecteur face a un scandale humain aussi absurde que choquant, que le faire sourire de petis travers sociaux.

Pour cela nous allons faire une analyse lineaire de ce texte car l’auteur utilise plusieurs types d’arguments pour persuader le lecteur et ridiculiser les europeens. Nous allons etudier de quelle manière l’auteur met en cause l’esclavage des noirs.

Tout d’abord l’auteur utilise en grande partie du texte des antiphrases pour s’emparer de l’empathie des lecteurs et faire apparaitre mal les colonisateurs. Au debut la conjonction de ccordination «si » est une forme hypotetique qui sert introduire l’argument. L’imparfait suivi du verbe a l’imperatif « j’avais a soutenir » prouve que l’auteur est contre l’esclavage, il considere qu’il ne peut pas appuyer l’esclavage s’il parle d’humanite. Dans cette meme ligne on retrouve le mot « le droit », la l’auteur rappelle la notion de superiorite des europeens, ils considerent qu’ils ont le pouvoir sur les negres donc ils peuvent faire ce qu’ils veulent d’eux. Ensuite avec le pronom personnel « nous » on peut dire qu’il sert a designer la race blanche mais aussi l’auteur malgre son opposition est oblige de se considerer lui aussi comme faisant partie des colonisateurs pour pouvoir mieux caricaturer les europeens.

Puis dans le deuxieme paragraphe on retrouve un argument falacieux . Il fait reference au passe « les peuples d’europes ayant extermine ceux de l’amerique », le « ayant » a une valeur causale mais on va voir que la cause n’a rien a voir avec la consequence « ils ont du mettre en esclavage ceux de l’afrique », le « du » sert a montrer que les europens était oblige de mettre les africains pour remplacer ceux de l’amerique qu’ils ont extermine mais on sait que cela n’a rien car cette extermination n’est pas une raison valable pour disposer d’un peuple ®antiphrase. Le « s’en servir a defricher » fait reference a l’exploitation et le « tant » est un hyperbole qui sert a intensifier le travail des esclaves. Donc c’est pour ridiculiser les esclavagistes, les faire passer pour des idiots mais aussi montrer qu’ils ont colonise les africains sans raison valable. Cest une relation  logique pour montrer qu’ils n’ont pas droit de disposer d’un autre homme.Et grace a ces arguments falacieux en utilisant l’ironie il va persuader les lecteurs et les pousser a l’appuyer sur son opinion anti-esclavagiste.

Ensuite dans le deuxieme paragraphe on retrouve un argument economique « le sucre serait trop cher » .  l’hyperbole « trop » sert a expliquer que le sucre est bien de luxe donc il devrait couter tres cher mais  les europeens vont profiter des noirs en utilisant une main d’œuvre peu importante « si l’on ne faisait [….] par des esclaves ». le « si » sert a expliquer que parce que ce sont des esclaves qui ont produit le sucre et que eux les blancs ils n’ont rien payes pour cela donc le sucre n’est pas cher sinon il devrait l’etre car a cette epoque c’était les bourgeois qui l’utilisait,le peuple utilisait le miel.

Le troisieme paragraphe presente un argument physiologique mais aussi falacieux, le pronom demonstratif « ceux » sert a  parler en general de la race noire mais aussi on peut dire que comme l’auteur parle au nom des colonisateurs donc le « ceux » montre qu’ils designent les noirs comme des choses pas comme des humains. Le « depuis les pieds jusqu'à la tete » est une gradation qui sert a decrire physiquement les noirs en l’intensifiant et le « ; » a une valeur causale ici. Ensuite le  « si ecrase » est une hyperbole qui sert a exagerer la physiologie des noirs mais aussi ils servent a montrer que les europeens se considerent totalement differents des noirs, qu’ils n’ont rien en commun avec eux. Le « presque impossible de les plaindre » le mot impossible sert a montrer que la cause n’a rien a voir avec l’effet encore une fois Montesquieu veut caricaturer les europeens pour montrer que vraiment ils n’ont pas d’arguments valables pour mettre en esclavage les noirs,il veut les ridiculer .

Puis dans le paragraphe suivant on retrouve un argument religieux. Le pronom impersonel « on » retrouve au debut du texte sert a inclure tous les hommes en genera. Il ne fait pas d’exception. Ensuite on retrouve des hyperboles comme « tres », « surtout » qui sont des adverbes d’intensite qui servent a ironiser mais aussi remettre en cause la complicite de l’eglise catholique avec l’esclavage. Dans le  « corps tout noir », le « tout » intensifie la physique. On peut dire que c’est un theme d’egalite pour montrer que Dieu a cree les hommes sans prejuges et si l’eglise adore Dieu et observe ses paroles donc il devrait pas appuyer l’esclavage base aussi sur le racisme et l’antropcentrisme.

Dans le sixieme on peut dire que l’expression « c’est la couleur qui constitue l’essence de l’humanite » est une affirmation, une surete. L’auteur le dit comme etant une verite general et le « si naturel » sert a expliquer que c’est normal, il n’y a rien de mal dans ca de penser cela. Le « , » a une valeur causale ici et le pronom relatif « que » sert a relier la cause par la consequence. On voit aussi que l’auteur fait reference aux faits contemporains «  les peuples d’Asie qui font les ennuques… » tout en utilisant l’adverbe pour insister  « toujours » et le superlatif «  plus marquee ». La aussi on voit que la cause n’a pas de rapport avec la consequence mais aussi c’est pour montrer aux lecteurs en ironisant les colonisateurs qu’il essaient de se justifier en montrant que ce ne sont pas eux qui debutent avec l’esclavage des noirs meme les asiatiques qui aussi sont discrimines pour leur couleur de peau considere les noirs comme des etres inferieurs mais aussi je pense que qu’il y a aussi ici un aspect de l’essence de l’homme pour montrer que du moment qu’un homme a un de ses semblables qui le domine il va chercher lui aussi un autre, le mettre plus bas que lui pour le dominer et reagir de la meme facon que son superieur. Autrement dit faire subir au dernier ce qu’on lui fait subit lui.

Dans le paragraphe suivant le « on » sert a ne pas faire d’exception. Aussi on peut relier le « on ne peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux » avec « c’est la couleur qui constitue le sens de l’humanite » ces deux affirmations ont une relation logique pour dire que pour les colonisateurs  c’est a partir de la couleur de la peau va definir  si on est homme ou pas mais cela ne suffit pas c’est a partir de la  couleur des cheveux qu’on va pouvoir determiner la couleur de la peau et la on saurait si on est homme ou pas ®antropocentrisme. Mais on peut dire que c’est un argument d’autorite  car il dit « les egyptiens les meilleurs philosophes du monde ». Le superlatif « meilleur » sert a ironiser  en faisant sourire le lecteur car on sait que les egyptiens ou les grecs ne sont pas vraiment des philosophes tres reconnus et que ils ne sont pas consideres comme les meilleurs du monde vraiment. Le « si » c’est pour intensifier la declaration et montrer malgre que l’excuse n’est pas valable mais il a été intensifie et ainsi attirer l’empathie des lecteurs a lui. Ensuite dans le meme ligne on voit  que l’effet n’as pas de sens « qu’ils faisaient mourir tous les hommes rousx […] » car on sait qu’il n’y a pas de noirs avec des cheveux roux. Les noirs et les roux sont differents.

Puis dans le paragraphe suivant on retrouve un argument d’ethnocentrisme « une preuve que les noirs n’ont pas de sens commun… » donc on peut dire que parce que les africains ont une culture differente des europeens donc eux les considerent comme des barabares. La metonymie  «  d’un collier de verre » sert a designer le verre mais aussi la phrase «  plus d’un collier de verre que de l’or » sert a expliquer que pendant que l’or est l’objet le plus precieux pour les europeens a contario pour les africains c’est le verre alors ils les critiquent en disant qu’ils n’ont pas de sens commun en ne sachant pas la valeur de l’or.

L’avant dernier paragraphe est un arguement religieux. Dans « il est impossible que nous supposions que ces gens-la soient des hommes » le verbe « supposer » a l’imparfait precede de « impossible » veut montrer que les colonisateurs mettent en question leur humanite en disant qu’ils ne peuvent pas croire et accepter les noirs comme des etres humains comme eux et l’expression «  ces gens-la » montrent déjà qu’ils les considerent pas comme leurs prochains,pour eux c’est une espece inconnue. Et aussi dans le sens religieux le « on commencerait a croire […]chretiens » montre une remise en cause de la foi chretienne d’où si Dieu a cree tous le hommes  a son image donc les noirs ainsi que les blancs sont creature de Dieu alors en acceptant que les noirs ne sont pas des hommes cela contredit la Bible.

Enfin dans le dernier paragraphe on retrouve un argument polemique. On peut dire que ce paragraphe possede une double critique. Car on voit que l’auteur utilise un theme pejoratif « petits esprits » et un hyperbole « trop » pour faire reference aux grands savants, aux intellectuels qui critiquent l’escalavage. Il prend partie pour les colonisateurs en faisant croire que l’esclavage n’est pas considere comme une injustice enorme faite aux africains et que ce sont eux les savants par qui font croire cela. Mais ensuite on trouve une relation de consequence « car » servant mettre en evidence le type de relation logique mise en œuvre puis une periphrase « les princes d’europe » servent a designer les gouverneurs. Tout de suite on voit que l’auteur change de position en critiquant les gouverneurs qui font «  des conventions inutiles ». On peut faire reference la au code noir prévu à l'origine pour réprimer les abus et le mauvais traitement des Noirs employés dans les plantations, et mettre fin à un trafic qui s'est développé en toute illégalité. L’auteur veut critiquer les colonisateurs qui n’ont pas respecte ce code et en plus cachent aux francais  les atrocites qu’ils font aux africains en les faisant travailler mais aussi des fois les tuent.

Pour conclure on peut dire que l’auteur met en cause le système exclavagiste en utilisant des antiphrases pour ironiser les colonisateurs, les caricaturer en les faisant passer pour des idiots et ainsi il va persudader le lecteur en le faisant sourire et grace a cela il va attirer son empathie et le faire appuyer sa these.