Gozbeck par Constanza, Paulina, Andres,

Honoré de Balzac, écrivain réaliste du XIXème siècle, nous présente dans Gobseck, roman réaliste écrit en 1830, un homme usurier qui vit modestement malgré sa fortune. L’histoire nous raconte le discours fait par Gobseck à son voisin M. Derville sur son point de vue du bonheur.

 

Nous nous demanderons en quoi Gobseck nous démontre l’importance de l’or à l’époque.

 

Pour ceci on va parler en premier de l’ambition, après du bonheur illustré par Gobseck et finalement des bénéfices de l’or.

 

 

 

L’ambition est présentée dans le texte plusieurs fois comme un manière d’être donc de sa personnalité.

Dès les premières lignes, l’auteur nous démontre la personnalité du personnage principal en tant qu’ambition: « Quelle existence pourrait être aussi brillante que l’est la mienne? » (Ligne 1). Aussi on voit ceci lorsqu’il dit « Si vous aviez vécu autant que moi vous sauriez qu’il n’est qu’une seule chose matérielle dont la valeur soit assez certaine pour qu’un homme s’en occupe. Cette chose… C’est l’OR » (Ligne 19-22). L’ambition est aussi la vanité, donc on sait que le personnage est aussi vaniteux à partir des lignes 31 et 32 (« La vanité, c’est toujours le moi. La vanité ne se satisfait que par des flots d’or »). On peut voir la personnalité et la mentalité de la vie du personnage principal dans les lignes 58 et 59 (« En un mot, je possède le monde sans fatigue, et le monde n’a pas la moindre prise sur moi »), là on voit que Gobseck pense que comme il a de l’argent, il a du pouvoir sur le monde et qu’il est important. Il nous démontre ses « sentiments » pour l’argent et le pouvoir car il utilise beaucoup des signes de ponctuations et des figures de style comme l’exagération, les anaphores et les comparaisons. Il fait des comparaisons de sa vie avec de l’or avec celle des personnes qui n’ont pas autant d’or que lui, il fait ceci pour démontrer que la vie avec l’or, donc la sienne, est meilleure que celle sans or.

Maintenant on va parler du bonheur illustré par Gobseck. Le bonheur selon Gobseck consiste en travailler pour avoir de l’or, donc pour avoir une meilleure vie avec de l’or. On voit ceci lorsqu’il dit « Le bonheur

consiste alors dans l’exercice de nos facultés appliquées à des réalités » aux lignes 9 et 10. Il nous dit plus spécifiquement qu’on doit pas attendre que le bonheur arrive sans rien faire, lorsqu’il dit « Il n’y a que des fous ou des malades qui puissent trouver du bonheur à battre les cartes tous les soirs pour savoir s’ils gagneront quelques sous » aux lignes 34 à 36. Il dit aussi qu’on doit lutter pour avoir du bonheur aux lignes 48 à 50 (« Le bonheur consiste ou en émotions fortes qui usent la vie, ou en occupations réglées qui en font une mécanique anglaise fonctionnant par temps réguliers. »)

Finalement, on va parler des bénéfices de l’or. Pour le personnage principal, les bénéfices de l’or consistent en donner tout ce qu’on veut dans la vie, grâce à l’or on a tout ce qu’on voulait depuis longtemps. Il nos démontre ceci lorsqu’il dit « … l’or contient tout en germe, et donne tout en réalité. » aux lignes 33 et 34. Il nous démontre ceci aussi aux lignes 42 à 47 (« Il n’y a que des niais qui puissent aimer à parler des acteurs … le voisin ne peut avoir que trois jours après eux. »). Donc pour Gobseck, l’or a des bénéfices infinis, il nous donne tout ce qu’on voulait depuis longtemps, il nous aide à réaliser nos rêves, à voyager, à faire tout ce qu’on veut, manger tout ce qu’on veut, avoir tout ce qu’on veut. Il décrit l’or comme quelque chose de magique qui nous donne tout ce qu’on veut.

 

Pour conclure on voit que dans Gobseck, roman écrit par Honoré de Balzac en 1830, que le personnage principal nous démontre que plutôt pour lui, avoir de l’or c’est avoir le tout. Avoir du pouvoir, fortune, etc. Mais le personnage du voisin, M. Derville, nous montre que son intérêt n’est pas si fort que ça. Le personnage principal nous démontre l’importance de l’or à l’époque en nous disant son point de vue sur ce que c’est l’or et les bénéfices qu’on a lorsqu’on obtient de l’or.

Bon site sur Balzac ici

 

Une Notice sur l'oeuvre Gobseck

 

Penser à évoquer dans l'introduction que Gobseck fait partie du vaste ensemble de La Comédie humaine