Par Constanza, Paulina, Andres

Nous sommes en présence d’un extrait de Madame Bovary(1857), roman réaliste écrit par Gustave Flaubert, écrivain français du XIX ème siècle. Ce roman nous parle d’une femme qui se marie avec un médecin pour avoir une meilleure vie mais elle se rend compte qu’il ne la satisfait pas donc elle cherche un nouvel homme qui lui donne tout ce qu’elle veut, donc de l’argent. Ce roman a un final tragique á cause du personnage principal.

Nous nous demanderons comment le portrait de Charles démontre les caractéristiques de l’homme bourgeois ?

Pour cela on va se centrer sur le portrait de Charles et l’appréciation qu’il a de sa femme pour finalement voire les différences entre ces deux.

 

D’un principe la description de Charles a une connotation négative. Par exemple : << il ne savait, ni faire des armes, ni tirer au pistolet>> Tout cet énumérations démontre qu’il ne sait faire rien, car c’est péjorative. On reconnait aussi que Charles est un personnage plat, que parler avec lui produit pas d’émotion, n’on plus il comprend la signification des conversations intelligentes. Par exemple : << la conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue […] sans exciter d’émotion. >> Cette comparaison montre que ces conversation son ‘’gris’’ cet a dire neutres, et ca nous démontre qui n’as pas une culture et ne cherche pas à en avoir plus. Par exemple : <<Il n’avait jamais été curieux>> ; <<il ne put, un jour, lui expliquer un terme d’équitation qu’elle avait rencontré dans un roman. >> Cet homme seulement voit le superficielle.

 

L’appréciation qui à Charles de Madame Bovary c’est de l’admiration et de l’orgueilleux. Ca on peut le voir avec tous les modalisateurs. Comme par exemple : <<Charles finissait par s’estimer davantage de ce qu’il possédait une pareille femme>>. Ici on voit qu’il la considère comme la femme exemplaire et parfaite. Celle-ci pouvait faire différents activités. Comme par exemple : <<elle dessinait>> ; <<quant au piano>> ; << elle envoyait aux malades le compte des visites>> ; <<c’était Emma qui le servait>>. Ces activités ont une appréciation positive. Comme par exemple : <<dans des lettres bien tournées>> ; <<offrir un plat coquet>>. Avec tous ces actions on peut remarquer que Charles voit des qualités d’Emma si parfaites qu’il est au point d’être une exagération. Il croit que tout ca la fait heureuse. Comme par exemple : <<Il la croyait heureuse>>. Alors on peut constater que cette appréciation est totalement superficielle, donc il ne se préoccupait pas des les sentiments d’Emma, et seulement la voyait superficiellement.

 

C’est cette superficialité qui contraste avec Emma. Ce que Charles admire c’est les actions physiques d’Emma, même en ses loisirs. Par exemple : << Elle dessinait quelquefois ; et c’était pour Charles un grand amusement que de rester là […] des boulettes de mie de pain. >>L’homme se concentre dans ces actions et non réellement dans l’œuvre. Avec Emma, quand elle lui parle du roman il n’arrive pas à comprendre. On constate qu’Emma est, en contraste, cultivée. Cela se voit dans les passages :<< Elle dessinait>> ; << Quant au piano>> ; <<… rencontré dans un roman>>. Aussi sa culture lui donnait des gouts exotiques, on le voit dans : << Quand ils avaient, le dimanche […] pour le désert>>, ces produits et la nécessité de montrer son abondance démontrent sa dépendance du statut. Charles d’un autre côté est satisfait en ayant une femme qui est belle et qui fait le ménage, on le voit dans :<< Il montrait […] en tapisserie>>, avec ceci, Charles nous démontre qu’il voit que sa femme est joyeuse par rapport à ce qu’elle avait grâce à lui et donc que l’importance du statut est fort à l’époque. En effet le contraste entre Charles et Emma montre les différences entre hommes et femmes dans la bourgeoisie.

 

Pour conclure, on peut dire que l’extrait non seulement nous montre le portrait d’un personnage qui représente la bourgeoisie médiocre de l’époque, Charles, mais aussi expose le contraste avec la femme, qui est vue comme un trophée, un objet qui fait le ménage et dont leur qualité interne s’ignorent, cette condition oppressive apparaît aussi dans le roman réaliste d’Emile Zola, Thérèse Raquin où l’héroïne cherche aussi d’être libre de son mari médiocre bourgeois.