Loe Certano, Pablo Chicano, Tomas Daneri

Les Justes Albert Camus

 

Albert Camus écrivain du xx siècle nous présente dans son œuvre « Les Justes », un groupe terroriste appartenant au partis socialiste révolutionnaire qui en février 1905, a Moscou, organise un attentat a la bombe contre le grand duc serge, oncle du Tzar.

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Dans cet extrait on trouve les personnages de Dora et Kaliayev qui se demandent si on peut faire partis d’une révolution et aimer au même temps âpres avoir échoué le premier attentat.

On se demandera en quoi repose la relation Kaliayev/Dora

Pour celas on analysera l’engagement révolutionnaire des personnages et l’amour fusionnel.

 

Tout d’abord on va s’intéresser sur l’engagement a la révolution, avant il faut faire quelques distinction entre les personnages. Kaliayev ressent un extrêmement fort engagement vers la révolution et celas lui permet non seulement de se sacrifier pour la révolution mais aussi d’aimer le peuple pour le quel il se bat, Kaliayev se bat pour la révolution a fin de sauver le peuple et il l’aime autant que celas ne lui permet pas de commettre le premier attentat si celas vaut la vie des innocents et d’aller plus loin que la haine et trouver l’amour « Je croyais que c’étais facile de tuer, que l’idée suffisait, et le courage », « Mais j’irais jusqu’au bout ! Plus loin que la haine ! ».

D’autre part on trouve le personnage de Dora. A différence de Kaliayev, elle fait partis de la révolution avant lui, ce qui la fait mener cette discutions et d’être au dessus de Kaliayev en termes d’expérience envers le sujet, mais aussi cela lui permet de nuancer ses idées et de voir la révolution d’une façon un peut plus radicale. Comme elle aime une idée abstraite : la justice, dans ce

cas on pourrait dire que Dora se trouve un peut éloignée de l’empathie qui ressent Kaliayev en vers la vie humaine, menant la prendre des décisions plus pragmatiques : « Ceux qui aiment vraiment la justice n’ont pas le droit à l’amour. Ils sont dresses comme je le suis, la tête levée, les yeux fixes. Que viendrait faire l’amour dans ces cœurs fiers ? »

 

Apres avoir analysé l’engagement révolutionnaire, on s’intéressera a l’amour fusionnel, l’amour qui relie Kaliayev et Dora. Tout d’abord il faut s’avoir qu’ils éprouvent une même conviction idéologique et un amour réciproque, qu’ils doivent sacrifier au bénéfice de leur cause révolutionnaire commune. On pourrait même dire que c’est grâce a cet amour que Kaliayev rejoins la révolution. Cet amour fusionnel est introduit dans cet extrais quand Yanek parle de l’amour vers le peuple ou Dora lui répond qu’elle aime aussi d’un vaste amour son peuple, d’un amour malheureux, un amour ingrat, elle se demande si le peuple sait qu’elle l’aime autant et celas l’éloigne du peuple. Doras prononce cette réplique avec plusieurs pronoms personnels « nous » ce qui nous démontre une fusion entre elle et Kaliayev, qu’ils font un seule être.

A la suite, Dora explique l’amour absolu qu’elle sent envers Yanek, c’est l’amour dont elle ne devrait pas sentir selon elle-même, car celas ne lui permettras pas de ce centrer complètement a la révolution et celas la brûle, mais aussi celas la fait douter de ce qu’elle avait dit antérieurement : « Je me demande si l’amour n’est pas d’autre chose… », « J’imagine celas, vois-tu. Le soleil brille, les têtes se courbent doucement, le cœur quitte sa fierté… » Puis elle se rappelle des conséquences qu’auras l’attentat et souhaite de se dévouer complètement a son amoureux et de s’offrir un instant avec lui durant une courte période : « Ah ! Yanek, si l’on pouvait oublier, ne fut-ce qu’une heure », « Une seule petite heure d’égoïsme, peux tu penser à cela ? ». Kaliayev nomme cet amour comme la tendresse, mais Doras lui demande si il peut différencier complètement la tendresse de l’amour a la justice, elle lui demande s’il est capable de se dévouer complètement au

peuple ou aimer la vengeance et la révolte. Kaliayev répond avec un silence, dont le sens est rien que celui qu’il était incapable de nuancer les deux types d’amour, puis rasure Doras et lui dit que personne ne l’aimeras comme lui. D’autre part c’est grâce a qu’il est capable d’aimer le peuple avec un amour tendre et humain, et non seulement une idée abstraite de justice, celas rend ses action Justes et non simplement un acte terroriste mécanique sans humanité.

 

 

Finalement on peut conclure que leur relation repose sur l’amour qu’ils ressentent vers la révolution : une révolution pour le peuple ou une révolution pour la justice et bien qu’ils partageant la même cause, ils restent humains au travers de la tendresse et de l’amour qu’ils déclarent et transcendent dans leur combat révolutionnaire.